La 3D, une aubaine pour les acteurs de l’immobilier

Pour les architectes, cette technologie représente un gain de temps considérable. Dans le passé, pour présenter des projets, ils réalisaient leurs maquettes à la main. Aujourd’hui, ce temps est révolu : avec l’impression 3D, leur maquette virtuelle prend forme, leur projet se concrétise plus rapidement.

Du côté des agences immobilières, l’apport de l’impression 3D est tout aussi intéressant. Elle permet aux acheteurs potentiels de se faire une idée plus concrète qu’une simple visualisation à l’écran. Promouvoir son projet auprès de ses clients n’a jamais été aussi simple.

Cette technologie repousse toutes les limites. La première maison au monde imprimée en 3D est en train de voir le jour à Amsterdam. De grandes briques de plastiques empilées comme des Lego par une imprimante géante en constitueront la charpente. Le chantier doit durer 3 ans. De quoi ouvrir de belles perspectives pour l’industrie de la construction.

De même à Shangai, une entreprise chinoise vient d’imprimer 10 maisons de ville de 200 m2 en 24 heures et pour moins de 3 500 euros pièce, une prouesse !

L’intérêt est à la fois écologique (le béton provient de déchets de construction recyclés, provenant de chantiers ou d’usines désaffectées de ciment et de fibre de verre) et économique : c’est bien plus intéressant financièrement. Les imprimantes 3D sont décidément l’avenir du secteur immobilier.

> Article réalisé pour le blog d’Illimake, spécialiste de l’impression 3D

La 3D, un jeu d’enfant

Le principal attrait de l’impression 3D pour les plus jeunes est son potentiel de créativité illimité et d’ultra personnalisation. Une imprimante 3D leur permet d’explorer toutes les facettes de leur créativité et leur donne le plaisir de fabriquer un objet sorti tout droit de leur imagination – leur seule limite.

Pour réaliser des objets à partir de leurs dessins, c’est simple : il suffit de scanner le dessin ou d’en réaliser un sur un logiciel spécifique. Bientôt leurs chefs d’œuvre en 3D !

Mieux : cette technologie va consoler les bambins qui ont cassé un jouet ou perdu une pièce d’un jeu. Avec l’imprimante 3D, on peut modéliser sur ordinateur la pièce manquante, puis la créer en relief – pour cela, les parents apporteront assurément leur renfort.

Des imprimantes 3D destinées aux enfants de plus de 10 ans sont même apparues sur le marché fin 2014. Elles leur permettent de dessiner des objets ou d’imprimer eux-mêmes des modèles de jouets en utilisant l’application dédiée. Elle sont très simples d’utilisation (à relier à une tablette connectée au réseau WiFi de la maison), et sécurisées, composée de plastique formulé à base de matériaux naturels.

Enfin, les imprimantes 3D trouveront bientôt leur place dans les écoles de par leur potentiel éducatif. Aux Etats-Unis, certains fabricants d’imprimantes 3D (Makerbot en tête) ont déjà prévu d’en installer dans chaque école américaine. A quand une initiation à la modélisation et à l’impression 3D dans les programmes scolaires français ?

> Article réalisé pour le blog d’Illimake, spécialiste de l’impression 3D

Bienvenue dans l’ère de la 3D !

Les cabinets d’études (Wohlers Associates, Gartner…) sont unanimes : le marché de l’impression 3D est en train d’exploser. Il passera de 1,6 milliard de dollars en 2015 à l’échelle mondiale, à environ 13 milliards de dollars d’ici 2018 et 21 milliards dès 2020. Une véritable révolution industrielle est en marche !

L’impression 3D (ou « fabrication additive ») consiste à fabriquer par ajout de matière un objet physique à partir d’une image numérique.

Tous les secteurs sont désormais concernés : la grande consommation, l’habillement, l’architecture, l’éducation, les métiers du bâtiment et du génie civil… On s’en sert pour fabriquer des prothèses médicales, des prototypes ou des télescopes pour la NASA. Et désormais pour confectionner des vêtements, construire des maisons, des voitures, et même pour reconstruire des visages.

L’industrie est en pleine transition : cette technologie n’est plus cantonnée à la production de prototypes et suscite une forte demande dans le domaine industriel – pour fabriquer des pièces métalliques pour l’aéronautique, notamment.

Sans compter que cette technologie s’ouvre au grand public. Les imprimantes sont de plus en plus accessibles (un modèle d’entrée de gamme coûte moins de 1000 euros). Dans un monde dominé par la haute technologie, les ventes d’imprimantes 3D vont doubler en 2015 (108 000 ventes en 2014, 217 350 en 2015, 2,3 millions en 2018). Et vous, céderez-vous à la tendance de la 3D ?

> Article réalisé pour le blog d’Illimake, spécialiste de l’impression 3D

Les dronies dans l’air du temps

Le dronie est la nouvelle tendance qui fait fureur sur le web. Initialement conçu pour les forces armées et la sécurité, le drone est désormais une technologie à portée de tous. Vertige devant l’infiniment grand…

Le selfie est mort : vive le dronie !

Il fut un temps où l’on prenait des selfies avec un simple smartphone. Désormais, c’est un appareil volant télécommandé et sans pilote – le drone – qui nous tire le portrait. Venu tout droit des Etats-Unis, le dronie est la tendance vidéo du moment. Ajoutant une dimension esthétique et dramatique nouvelle aux selfies, cet autoportrait aérien donne à voir les individus en plan serré, puis le décor environnant par l’effet d’un « zoom out ».

Ce phénomène de grande ampleur offre une large palette de points de vue : d’aucuns se placent au sommet d’une montagne, d’autres, à la fenêtre d’un gratte-ciel, d’autres encore, en pleine nature, sans oublier les space selfies, caractérisés par une trajectoire inverse, débutant dans l’espace et s’achevant sur un plan rapproché de l’individu. Spectaculaire !

La paternité du terme dronie revient à Alexandra Dao, salariée du site de vidéos Vimeo, qui, sans être à l’origine du concept, a lancé la toute première chaîne consacrée au phénomène.

Comment expliquer cet engouement ?

Mieux qu’un selfie pris dans sa salle de bain, le dronie offre l’émotion devant un paysage à couper le souffle, le vertige devant l’immensité.

Sans compter qu’avec la démocratisation des drones, tout un chacun peut désormais s’offrir ce robot initialement réservé aux forces armées et à la sécurité (il faut compter une soixantaine d’euros pour les premiers modèles et jusqu’à 600 euros environ pour les modèles plus sophistiqués).

Faute de drone, on pourra opter pour un « Gimbal », qui servira de support à vos iPhone et GoPro pour un résultat similaire. Le dronie serait-il finalement un moyen de prendre de la hauteur sur soi ?

Un QG pour les entrepreneurs du Bitcoin

La première structure française et européenne consacrée au Bitcoin a ouvert ses portes à Paris, le 13 mai dernier, au 35 rue du Caire.

Fondée par Thomas France et Eric Larchevêque, co-fondateurs de la société d’applications mobiles Epic Dream, la Maison du Bitcoin est un incubateur et un espace de co-working spécialisés dans le Bitcoin.

Le Bitcoin, kesako ? De l’anglais coin (pièce de monnaie) et bit (unité d’information binaire), ce terme désigne à la fois un protocole informatique permettant des paiements anonymes et décentralisés, et l’unité de compte utilisée par ce système de paiement.

Cette nouvelle structure inédite en Europe vise à fédérer et à accompagner au plan technique et législatif la communauté française du Bitcoin, ainsi qu’à informer le grand public sur ce protocole encore largement méconnu.

Au programme : des formations et des interventions en entreprises, mais aussi des meet-up et des Hackathons.

Plus mature dans d’autres villes mondiales (New York, Tel-Aviv, Montréal…), la communauté parisienne du Bitcoin est en pleine émergence. Jeune et l’avenir devant elle.

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