Le BMO à l’heure du management responsabilisant avec GrandVision

Après avoir parrainé la promo 2018 du Bachelor de Manager en Optique à l’ISO, GrandVision (Générale d’Optique, GrandOptical et Solaris) a proposé cette année aux étudiants des 4 centres BMO – ISO Lille, Lyon, Paris et Nantes – une expérience autour du management responsabilisant. Grâce à ce partenariat durable entre l’ISO et le groupe leader mondial de l’optique, les futurs managers bénéficient d’échanges fructueux avec des professionnels de l’optique et d’une expérience de terrain supplémentaire.

« Le management responsabilisant vise à contribuer au développement personnel et professionnel des collaborateurs, dans un esprit de co-responsabilité », explique Stéphanie Villot, Responsable Communication RH chez GrandVision. « Le programme mis en place en BMO cette année avec l’ISO est très important pour l’avenir car il contribue à diffuser une vision moderne du management », poursuit-elle.

Échanges et étude de cas sur le management responsabilisant

Les étudiants en BMO à l’ISO Lille, Lyon, Paris et Nantes ont eu l’opportunité de découvrir ce nouveau modèle de management lors d’échanges avec des managers seniors GrandVision, suivis d’une étude de cas.

Morgane Colléaux-Royer, étudiante à l‘ISO Nantes inscrite l’an prochain en master de marketing, a trouvé « l’étude de cas […] très enrichissante pour confronter ses idées et évaluer sa capacité à convaincre ». Après ses études, elle envisage d’intégrer le service marketing d’une enseigne ou de fonder une agence de communication dédiée aux opticiens.

Margot Gomes Da Silva, étudiante à l’ISO Lille, a également apprécié cette expérience collective qui « a sollicité [s]es capacités d’écoute et d’argumentation, et sa faculté à trouver des compromis ».

Mises en situation et assessment

En avril et mai derniers, 24 étudiants issus des 4 classes du BMO ont été invités à vivre une demi-journée d’assessment avec des responsables RH de GrandVision. L’objectif ? Évaluer les compétences des étudiants en management responsabilisant au travers de mises en situation et leur permettre de recevoir un feedback immédiat de la part de professionnels.

Cet exercice individuel a été l’occasion pour Margot de « faire évoluer [s]a vision du management et de comprendre ce qui fonctionne aujourd’hui ».

 Ce « style de management centré sur l’humain » plaît particulièrement à Gaëlle Bihet, étudiante en BMO à l’ISO Paris et inscrite l’an prochain en master de ressources humaines en vue de postuler chez un verrier ou au siège d’une enseigne.

« Vis ma vie de manager » : les lauréats

Des étudiants sélectionnés par GrandVision vivront prochainement une expérience en magasin avec managers GrandOptical ou Générale d’Optique : un « vis ma vie de manager » sur le terrain !

Durant une demi-journée, le directeur et le directeur adjoint du magasin accompagneront individuellement chaque étudiant dans les rituels de management responsabilisant avec l’équipe du magasin (lancement de journée, préparation d’une réunion participative, entretien de coaching individuel, fédération de l’équipe, etc).

Un partenariat pérenne avec GrandVision

 « Nous apprécions beaucoup ces moments d’échanges et de rencontres avec les étudiants du BMO, qui sont impliqués, très à l’écoute et ont envie d’évoluer. Chaque année, Générale d’Optique et GrandOptical accueillent un grand nombre d’entre eux durant leur cursus en alternance et après l’obtention de leur diplôme. Nous avons à cœur de nous impliquer dans leur formation et de contribuer à leur vision du management », déclare Stéphanie Villot.

Et de conclure : « Nous réfléchissons déjà à de nouvelles modalités de partenariat avec l’ISO sur ce cursus pour l’an prochain, notamment – à la demande des étudiants – sur les problématiques d’audit. »

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L'Institut Supérieur d'Optique forme depuis 30 ans les experts des métiers de la vision.

Juliette Papin remporte la finale européenne du concours FORCE

Étudiante en Licence d’Optique à l’ISO Nantes, Juliette Papin a remporté la finale du concours EMEA FORCE 2019 le 11 mai dernier à Budapest, en Hongrie. C’est la première fois en 7 ans que la France décroche la première place de ce concours européen. Félicitations à Juliette !

Organisé chaque année par le laboratoire CooperVision, le concours FORCE (Future Ocular Research Creativity Event) voit s’affronter des étudiants en optométrie de différents pays sur un projet de recherche relatif aux lentilles de contact. Cette année, la 7e édition a accueilli des étudiants de 11 pays d’Europe, du Moyen-Orient et d’Afrique (EMEA).

Juliette, lauréate de la finale EMEA FORCE CooperVision 2019

Lors de la grande finale le 11 mai dernier au Centre d’innovation CooperVision à Budapest, Juliette Papin s’est distinguée par la présentation dans un anglais impeccable de son étude sur « La variation des comportements phoriques, comparaison entre 2 lentilles : Addition VS Effet convexe », parmi les 14 étudiants en optométrie venus de tous horizons.

Bilan de son étude : elle a observé une diminution significative de l’esophorie pour la lentille multifocale ; quant à la lentille à effet convexe, elle pourrait avoir un effet sur les esophores et les myopes – il faudrait réaliser une étude complémentaire sur une cohorte plus importante pour que cette tendance se révèle significative.

Étudiante en Licence Professionnelle d’Optique, cette passionnée d’optométrie poursuivra sa formation en Master l’an prochain. Par la suite, elle envisage de passer le diplôme européen pour exercer peut-être à l’étranger, et aimerait également faire de l’enseignement.

Le concours FORCE de CooperVision ouvre des portes 

« Participer à ce concours a énormément apporté à ma formation et m’a beaucoup appris au niveau théorique et pratique. Je me suis sans cesse remise en question, interrogée sur le sens des résultats que j’obtenais, questionnée sur la façon de présenter les résultats de la manière la plus claire et la plus pertinente », raconte Juliette.

« À Budapest, j’ai rencontré des personnes passionnées, passionnantes et d’une bienveillance rare. J’ai eu la chance d’échanger avec les autres participants aussi bien sur le déroulement de leurs études que sur la pratique de notre métier dans leur pays », poursuit-elle. « Jamais je n’aurais pensé vivre une telle expérience, ressentir tant d’émotions en trois jours… C’est un souvenir inoubliable ! »

Sur un plan plus personnel, Juliette « [a] gagné en confiance en [elle] » et « ressor[t] grandie de cette expérience ».

Sa tutrice, Brigitte Couture, optométriste et professeure de contactologie à l’ISO Nantes, a beaucoup aimé accompagner Juliette jusqu’à la finale européenne, qui a été pour elle « une belle expérience sous le signe de l’émotion et du partage ».

La jeune lauréate remercie chaleureusement Brigitte Couture et Alexandre Meslé, chargé de l’organisation de la finale française et de l’accompagnement des étudiants et de leur tuteur au niveau européen, pour leur soutien et leurs conseils, mais aussi celles et ceux qui ont participé à son étude « sans qui rien n’eût été possible », ainsi que son ami Adrien Larmoire pour son indéfectible soutien.

D’ici quelques mois, elle publiera son étude dans le Journal de l’Optométrie Francophone (JOF). En janvier prochain, elle présentera son étude lors du Congrès d’Optométrie et de Contactologie (COC) à Paris, puis en plénière au Netherlands Contact lenzen Congress (NCC) deux mois plus tard, sur l’invitation de CooperVision Europe. En outre, elle est d’ores et déjà invitée à la finale FORCE EMEA 2020.

L’ISO Nantes sur le podium pour la 2e année consécutive

Chaque année depuis sa création en 2013, de nombreux étudiants de l’ISO participent à ce concours de renommée internationale. Certains ont même remporté la finale France et participé à la grande finale européenne :

  • Alexandre Meslé (ISO Bordeaux) en 2013,
  • Benoit Pelatan (ISO Bordeaux) en 2015,
  • Mehdi Yahiani (ISO Lille) en 2016,
  • Ludivine Willmann (ISO Nantes, numéro 2 du classement européen) en 2018.

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Pauline Ghesquier, 24 ans, opticienne : comment je contribue à la santé visuelle dans le monde

Après son Bac S, Pauline Ghesquier s’oriente vers un cursus optique en alternance. Au cours de sa formation, elle se découvre une passion pour l’aide humanitaire au profit de la santé visuelle dans le monde. À 24 ans, elle est aujourd’hui diplômée du BTS Opticien-Lunetier, d’un bachelor de management et d’une licence d’optique, en poste dans un magasin indépendant du Nord de la France. Rencontre avec une opticienne engagée.

Pauline Ghesquier a découvert l’humanitaire en 2015, mue par le désir de se mettre au service des autres. Après une première mission au Sénégal et une deuxième au Cambodge, elle travaille désormais sur un projet de lunettes recyclées en France, en parallèle de son poste d’opticienne en magasin.

« Ces deux expériences humanitaires ont été des périodes inoubliables qui m’ont permis d’échanger avec les populations locales et de les aider à améliorer leur santé visuelle. Leur sourire est ma plus grande source de joie », raconte-t-elle.

« Ma première mission humanitaire au Sénégal a été une expérience magique »

Ayant à cœur d’entrer rapidement sur le marché du travail, Pauline opte en 2012 pour le BTS Opticien-Lunetier en alternance à l’Institut Supérieur d’Optique de Lille pour devenir opticienne. Formant peu à peu le projet d’ouvrir son propre magasin, elle se spécialise en management avec le Bachelor de Manager en Optique à l’ISO Paris pour acquérir des compétences en gestion. « Ce cursus est génial ! J’ai passé une année extraordinaire entourée de personnes qui veulent changer le monde de l’optique. »

Puis, Pauline enchaîne les remplacements pour acquérir un maximum d’expérience dans différents magasins d’optique, « uniquement des petites boutiques qui valorisent le service et la proximité », précise-t-elle. Ayant à cœur d’apporter son aide aux personnes dans le besoin, elle devient membre de l’association humanitaire Peuples Humana.

Première opticienne à intégrer l’association, Pauline participe à une mission au Sénégal du 13 au 27 février 2016. Elle réalise 240 examens de vue dans 2 villages de Casamance, au sud-ouest du pays, et offre à la population locale une correction adaptée.

Elle est accompagnée par 13 autres bénévoles (médecins traitants, infirmières, aides-soignantes…) chargés des consultations médicales et des séances de sensibilisation au lavage des mains, des dents et à la contraception dans les écoles et collèges.

« J’ai aidé une fillette à rester scolarisée »

Son meilleur souvenir durant sa mission ? Sa rencontre avec une sénégalaise de 12 ans qui s’apprêtait à abandonner l’école en raison de ses problèmes de vue. Grâce à un examen de vue et une correction adaptée, Pauline a aidé cette fillette à reprendre le chemin de l’école. « J’ai eu le sentiment de l’avoir « sauvée”, cela m’a rendue heureuse. Lors des missions, on reçoit bien plus que ce que l’on donne », souligne-t-elle.

« Le sourire des petits cambodgiens a été ma plus belle récompense »

Encore plus motivée par sa soif d’apprendre de nouvelles connaissances en optométrie et en contactologie, elle opte pour la Licence Professionnelle d’Optique à l’ISO Lille où elle est admise en septembre 2016 et dont elle ressort diplômée deux ans plus tard. « Au lycée, je voulais faire des études courtes. En définitive, j’aurai fait 5 années d’études », dit-elle dans un éclat de rire. « Pour être en mesure de délivrer des conseils adaptés en santé visuelle, tout opticien devrait suivre ce cursus », estime-t-elle.

Sollicitée par une responsable pédagogique de l’ISO Lille avec l’association Les yeux des écoliers, elle part au Cambodge du 10 au 18 février 2019, portée par sa fibre altruiste et son goût du voyage. Sa mission consiste à contrôler la vision d’enfants cambodgiens entre 3 et 15 ans et leur proposer des lunettes adaptées à leur vue, aux côtés de trois étudiants en 2e année à l’Institut Supérieur d’Optique. « Ces enfants ont une joie de vivre extraordinaire et se satisfont de peu. C’était magique de voir tous ces sourires. Je suis rentrée le cœur léger », raconte-t-elle.

« Je suis heureuse de pouvoir concilier mes 3 passions : l’optique, l’humanitaire et les voyages »

Engagée pour la santé visuelle dans le monde, Pauline travaille également les lundis et mardis sur un projet de lunettes recyclées dans les universités de Lille. L’objectif : récupérer des lunettes non-utilisées auprès des étudiants pour pouvoir les revendre en seconde main en magasin. Une première.

« Après ces deux missions, j’ai encore plus envie de donner accès aux soins optiques aux personnes dans le besoin », déclare Pauline, désormais passionnée d’humanitaire. « J’ai reçu une excellente formation à l’ISO. Les enseignants – passionnés et ayant à cœur de nous transmettre leurs connaissances – y sont pour beaucoup ! »

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« Be Strong By Mina » : success story d’une monture créée par une diplômée du BLC à l’ISO

Sabine Be., la marraine de promotion du Bachelor de Lunetier Créateur 2017, s’était engagée à éditer sa monture coup de cœur parmi les créations des étudiants, dans le cadre de leur projet d’études. Promesse tenue avec les lunettes « Be Strong by Mina » créées par Mina Letac, qui ont été présentées au MIDO le 24 février. Une belle récompense pour cette jeune diplômée talentueuse.

La monture « Be Strong by Mina » a été officiellement lancée le 24 février à l’occasion du MIDO, le salon international de l’optique qui se tient chaque année à Milan. « Ce modèle a été délicat à produire car le travail de Mina était d’une grande minutie. Il a fallu réaliser les plaques d’acétate et les collages pour récréer l’effet combiné du modèle au niveau du cerclage, dans les 10 coloris dans lesquels il est décliné », raconte la designer. Défi relevé !

Présentées aux opticiens du monde entier venus découvrir les tendances du marché, ces lunettes aux lignes audacieuses ont rencontré un franc succès. Elles seront bientôt expédiées aux quatre coins du monde. Une excellente carte de visite pour Mina Letac dont le nom résonne désormais sur la scène optique internationale.

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Les écoles ISO mobilisées pour la Journée de la Vision Krys Group

Le 23 octobre dernier, la Journée de la Vision Krys Group, organisée par la Fondation Krys Group a réuni les écoles ISO autour d’une mission commune : contribuer à la santé visuelle des personnes en situation de précarité. Retour sur cette journée d’action avec Pierre Gerini, Président de la Fondation Krys Group.

Un projet pédagogique et humanitaire

Cette première édition de la Journée de la Vision Krys Group en partenariat avec les écoles d’optique et le Secours Populaire a mobilisé étudiants et enseignants de l’ISO pour équiper des personnes dans le besoin. « L’ISO et ses étudiants étaient particulièrement motivés pour y participer », souligne Pierre Gerini, Président de la Fondation Krys Group. « Ce projet pédagogique s’inscrit dans un partenariat durable avec l’ISO et répond à la volonté des étudiants de s’engager bénévolement dans le cadre d’une action humanitaire ».

La Fondation Krys Group a mis à disposition des étudiants de chaque école participante verres et montures pour mener à bien leur mission. Réalisation d’examens de vue, analyse de leurs besoins, montage et ajustement des lunettes… Les étudiants ont ainsi mis en pratique leurs compétences sous la supervision d’un enseignant opticien, dans les locaux des écoles ISO.

« Je suis extrêmement fier des étudiants de l’ISO »

Afin de pouvoir fournir des équipements de qualité, l’accueil a été limité à 10 personnes par école. « Avec une centaine d’équipements délivrés, le bilan est très satisfaisant. C’est une très belle action que nous avons menée avec le soutien de l’ISO », se félicite Pierre Gerini.

Le Président de la Fondation ne tarit pas d’éloges sur les étudiants : « Je suis extrêmement fier des étudiants de l’ISO. Ils m’ont beaucoup impressionné par leur sérieux, leur professionnalisme et la précision de leurs gestes. C’est très encourageant pour l’avenir de la profession, la relève est assurée ! ».

Pour la prochaine édition de la Journée de la Vision Krys Group, quelques nouveautés sont à l’étude, entre autres, la possibilité d’équiper les personnes en verres progressifs et la participation des internes en ophtalmologie. Pour sûr, l’ISO répondra à l’appel.

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L’association SOLEO met le cap sur la Tunisie et l’Arménie

Après le Maroc durant deux années consécutives (2014 et 2015) et la Tunisie en 2016, l’association humanitaire SOLidarité Étudiant Optique (SOLEO) a mené une nouvelle mission en Tunisie cet été, du 1er au 13 août, et s’est rendue pour la première fois en Arménie, du 14 au 27 août derniers. Sur ces 2 missions, plus de 1 000 examens de vue ont été réalisés grâce à la mobilisation de 12 étudiants de l’ISO Lyon. Un engagement qui a porté ses fruits.

L’ISO Lyon en Tunisie pour la deuxième année

En 2016, 6 étudiants de l’ISO Lyon, membres de l’association SOLEO, avaient effectué des examens de vue et des montages et distribué une centaine de montures aux alentours de Tunis, dans le Nord de la Tunisie.

Pour la deuxième année consécutive cet été, 8 étudiants de l’association ont sillonné le pays durant 3 jours pour venir en aide aux enfants d’un orphelinat, puis aux habitants de zones isolées au bord de la Méditerranée, une population défavorisée qui n’a pas accès aux soins.

Au total :

  • 614 examens de vue ont été effectués, avec des fiches personnalisées pour chaque patient ;
  • 473 équipements optiques seront délivrés, une fois le montage effectué dans les ateliers de l’ISO ;
  • des centaines d’équipements solaires ont été fournis aux enfants de l’orphelinat.

Accompagnant les étudiants, un médecin généraliste tunisien a effectué plus de 250 dépistages du cancer du sein.

Une première mission optique en Arménie

Dès la mi-août, 4 autres étudiants et 1 professeur accompagnant de l’ISO Lyon se sont mobilisés pour la première fois en Arménie. Au programme : examens de vue, montages et ajustements de lunettes.

Bilan :

  • 404 enfants et personnes atteintes de presbytie ont bénéficié d’un examen de vue ;
  • 264 montages ont été réalisés ;
  • 1 200 lunettes loupes ont été distribuées.

Des missions soutenues par les partenaires de SOLEO

Pour mener à bien ces missions, l’association SOLEO a pu compter sur le soutien et la générosité de ses partenaires :

  • Seiko leur a fourni 1 000 verres ;
  • Opal leur a offert 500 lunettes loupes et 1 000 montures optiques et solaires ;
  • ODLM-Seaport leur a donné 600 montures optiques et solaires ;
  • l’ISO leur a prêté notamment 4 mallettes destinées aux examens de vue ;
  • l’Union Médicale Arménienne de France (UMAF) en Arménie et l’association Les Hirondelles de Carthage en Tunisie les ont accompagnés dans l’organisation, l’accueil et le suivi de leurs actions.

Pour l’été prochain, plusieurs projets de destinations sont à l’étude : la Tunisie et l’Arménie, mais aussi peut-être le Maroc et la Côte d’Ivoire. Avis aux bénévoles, aux investisseurs et aux fournisseurs !

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Les étudiants de l’ISO s’engagent aux côtés d’Essilor pour l’accès aux soins optiques des femmes

Le 2 avril, l’ISO a participé à une mission de santé visuelle dédiée aux femmes dans le besoin, organisée par Vision for Life, le fond caritatif d’Essilor. Au cours de cette journée, les étudiants de l’ISO ont réalisé des examens de vue, ainsi que le montage des lunettes.

La déficience visuelle est encore un handicap majeur en France, où près de 5 millions de personnes – dont un million d’enfants – ne bénéficient pas encore d’une correction visuelle, en raison de difficulté d’accès aux soins. Le diagnostic tardif des problèmes de la vision est à l’origine de 30% des échecs scolaires à l’école primaire. La mauvaise vision concerne plus de 2,5 milliards de personnes dans le monde.

Les femmes en situation de précarité ont moins recours aux soins de santé. Elles y renoncent plus fréquemment que les hommes, bien qu’elles se déclarent en moins bonne santé. Il est donc nécessaire d’accompagner les femmes dans leurs démarches de santé.

Le 2 avril, 80 femmes hébergées ou prises en charge par des associations telles que le Secours populaire français, le Samu Social de Paris ou la Croix Rouge ont ainsi eu accès à l’ensemble du parcours de soins ophtalmologiques – de l’examen de vue à l’équipement optique, si nécessaire. Des ateliers beauté incluant maquillage et pose de vernis leur ont également été proposés sur un stand dédié.

Les étudiants de l’ISO mobilisés sur le terrain

Étudiants en 2ème année en formation initiale à l’ISO Paris, Maëva Feniou, Annaëlle Hoff, Steven Istodorovic, Coraline Lebrun et Morgane Poszwa ont mis leurs compétences au service de cette mission humanitaire. Réunis sur les bancs de l’ISO par leur passion pour la santé visuelle, tous les cinq souhaitent poursuivre dans la même voie : la Licence Professionnelle d’Optique à l’ISO, puis le Master Biologie Santé spécialité Sciences de la Vision à l’Université Paris-Sud.

Mission Essilor Santé Visuelle

Les étudiants ont pratiqué des examens de vue, assisté les professionnels ou médecins ophtalmologistes présents bénévolement, monté et ajusté des lunettes à la vue de chaque femme qui avait besoin d’un équipement optique.

« Cette mission s’est avérée extrêmement gratifiante, avec une forte dimension humaine et le sentiment d’avoir été utiles. Nous avons été très touchés de contribuer au bonheur de personnes dans le besoin »raconte Annaëlle. « Sans compter l’apport en termes d’expérience du terrain et de formation pratique aux côtés de professionnels de santé – un avant-goût du Master. Cette journée a été riche d’échanges avec les autres intervenants tant sur leur parcours professionnel que sur leur engagement humanitaire » ajoute Maëva.

Bilan

Au total, une dizaine de femmes ont été orientées vers des examens complémentaires et un suivi médical. La plupart ont été ravies de leur parcours de soins, ainsi que du temps qui leur a été consacré, notamment lors des ateliers beauté. Peu habituées à recevoir des soins, certaines d’entre elles se sont d’ailleurs émues de cette initiative.

L’ISO répondra présent à l’appel de Vision for Life pour participer à d’autres missions caritatives d’envergure en septembre et décembre prochains.

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Success Story de David Rio : de l’ISO au CNRS

David Rio est doctorant en dernière année de thèse d’Optométrie et Sciences de la Vision dans un laboratoire affilié – entre autres – au CNRS. Fort de son parcours à l’ISO Nantes, également enseignant en contactologie à l’Université Orsay – Paris Sud, il s’adonne désormais à ses deux passions : l’enseignement et la recherche. Il a eu récemment l’occasion de présenter une partie de ses travaux lors du congrès de l’ARVO, le rendez-vous incontournable des chercheurs en optique.

Après deux tentatives d’entrer en faculté de médecine, David Rio se réoriente en BTS Opticien Lunetier à l’ISO Nantes dans la perspective d’enseigner. Désireux de rester dans le milieu paramédical, il est attiré par l’optique, un secteur en constant développement qui présente de nombreux débouchés.

Il poursuit ses études supérieures en obtenant une Licence Professionnelle d’Optique, puis un Master Biologie Santé, spécialité Sciences de la vison. Il entre alors en stage au Laboratoire Aimé Cotton (LAC), affilié au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), à l’ENS Cachan, l’Université Paris-Sud et l’Université Paris-Saclay. Durant ces 6 mois, immergé à plein temps dans le monde de la recherche, David mûrit son projet de continuer en doctorat (bac+8), sous la direction de Richard Legras, responsable de l’activité de recherche en optométrie.

Entre la recherche et l’enseignement

David Rio jongle désormais entre la recherche et l’enseignement, deux activités qui le passionnent. En septembre prochain, le jeune homme soutiendra sa thèse sur « L’optimisation des optiques bifocales destinées à corriger la presbytie » et deviendra officiellement docteur en optique, au terme de 3 ans de travail.

Ses travaux de recherche, orientés vers l’innovation produit, consistent à concevoir de nouvelles solutions de design optique pour corriger la presbytie – un projet qui pourrait bientôt entrer en phase de prototypage.

En parallèle, il occupe un poste d’enseignant en contactologie à l’Université d’Orsay.

David Rio reconnaît le rôle important qu’a joué l’ISO dans sa trajectoire professionnelle :  « En raison de l’implication et de la proximité de l’équipe pédagogique, mais aussi du réseau auquel cette école m’a donné accès, l’ISO a été un tremplin dans mon parcours » souligne-t-il.

Optometrie ISO - David Rio

Un acteur de la recherche au congrès de l’ARVO 2016

David Rio a eu l’opportunité de présenter une partie de sa thèse lors du congrès international de l’ARVO 2016, qui s’est tenu à Seattle, du 29 avril au 5 mai.

Le congrès de l’ARVO (The Association for Research in Vision and Ophthalmology. En français : l’association de recherche en ophtalmologie et en vision) réunit chaque année quelque 11 000 chercheurs en ophtalmologie et en vision originaires de plus de 75 pays (dont 45% des États-Unis). Durant 5 jours, plus de 6 000 communications, affichées ou orales, y sont présentées.

David Rio a, quant à lui, proposé une communication dédiée à la comparaison des nouveaux designs de lentilles aux designs existants – la 4e et dernière étude de sa thèse. « Ces 5 jours ont été un moment privilégié pour échanger avec mes pairs sur ce sujet. Le congrès de l’ARVO est également le lieu idéal pour développer son réseau et ouvrir la voie à nouvelles collaborations » note le jeune chercheur.

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Romain Alluguette, ancien étudiant du Bachelor de Manager en Optique à l’ISO

Romain Alluguette étudiant ISO

Ancien étudiant du Bachelor de Manager en Optique (BMO) à ISO Paris 15, Romain Alluguette est Directeur Adjoint d’un magasin d’optique. Il nous raconte comment sa formation à l’ISO a constitué un tremplin dans sa trajectoire professionnelle.

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Les étudiants témoignent
Clément Delalande
Pierre Fonteneau

 

Comment retrouver la forme après la grossesse ?

Comment se réapproprier son corps après l’accouchement ? Quel est le bon moment pour recommencer une activité sportive et quel sport pratiquer ? Comment prévenir le baby blues ? Autant de questions que se posent les jeunes et les futures mamans. Voici nos conseils pour vivre cette nouvelle situation en toute sérénité.

Fatigue, baby blues, kilos en trop, mal de dos… Faire face aux bouleversements physiques et psychiques de la grossesse puis de l’accouchement n’est pas chose facile. Pour retrouver la forme après l’accouchement, la jeune maman a avant tout besoin d’être accompagnée.

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Comment choisir son oreiller ergonomique ?

Pour que la qualité de votre sommeil soit optimale, un bon matelas, un sommier solide et surtout, un oreiller de qualité sont indispensables. Avec leurs formes variées, leur densité et leurs garnissages multiples, les oreillers ergonomiques vous offrent bien plus que des nuits douces et confortables : ils peuvent être l’une des solutions à vos problèmes de dos et de cervicales. Explications.
L’oreiller ergonomique : l’allié de votre bien-être

Ses atouts sont si nombreux qu’on ne parle que de lui ! Conçu pour offrir un maximum de bien-être, l’oreiller ergonomique épouse la forme de votre tête et de votre nuque, et améliore la qualité de votre sommeil. Selon vos goûts et vos préférences, il peut être de forme classique, c’est à dire carré, ou bien rectangulaire. D’autres ressemblent à une vague. On les appelle aussi « oreillers cervicaux». Votre tête est posée dans le creux de l’oreiller et les bords bombés assurent le maintien de votre nuque. En épousant ainsi la forme de votre tête, vos cervicales et les muscles de votre cou se retrouvent agréablement soutenus ; les tensions sont relâchées et votre sommeil amélioré.

Choisir l’oreiller ergonomique le plus adapté

Entre les oreillers fermes et les souples, ceux garnis en duvet ou en synthétique, le choix est tellement vaste que l’on pourrait s’y perdre. Mais considérez toutes ces combinaisons comme un atout : parmi l’étendue des possibilités, il y a forcément un oreiller ergonomique qui vous correspond. Les préférences sur le maintien de l’oreiller (moelleux, medium ou ferme) varient d’un goût à l’autre mais selon vos habitudes de sommeil, il est tout de même préconisé de choisir une densité plus qu’une autre. Vous dormez sur le dos ou sur le côté ? Privilégiez un oreiller medium ou ferme. Il vous assurera un bon maintien de la tête, de la nuque et du dos. Vous dormez sur le ventre ? Un oreiller souple vous procurera tout le confort recherché. Attention : fermeté et épaisseur de l’oreiller sont deux aspects différents. La fermeté de l’oreiller est fonction de son garnissage. Plus le garnissage est dense, plus le coussin sera ferme.

Le garnissage de l’oreiller ergonomique

Garnissage naturel ou synthétique ? Là aussi, vous aurez l’embarras du choix. Chacun possède ses avantages et ses inconvénients. Si vous avez une préférence pour les matériaux naturels, nous vous invitons à essayer le duvet de canard ou d’oie qui vous apporteront le gonflant, le douillet et la souplesse nécessaires à une bonne nuit réparatrice. Veillez néanmoins à ce que l’oreiller ergonomique soit bien traité contre les allergies. Si ce n’est pas le cas, tournez-vous vers un garnissage aux céréales : l’épeautre, par exemple, a pour avantage de réguler la chaleur et l’humidité et ce, de façon tout à fait naturelle.

Bénéficiant de grandes avancées techniques, les fibres synthétiques ont révolutionné la qualité de l’oreiller ergonomique. Les fibres polyester sont faciles à entretenir et évacuent très bien la transpiration. Quant aux microfibres, elles contiennent du polyester siliconé qui donne à l’oreiller un toucher et un gonflant très proches du duvet. Et puis ce sont des fibres chaudes, douces et confortables, d’une durée de vie supérieure au polyester classique.

Pour terminer, le latex est souvent composé d’une partie synthétique et d’une autre, naturelle. Grâce à ses propriétés antibactériennes, antifongiques et antiallergiques, il est un allié de choix, qui apporte confort et gonflant aux oreillers.

Et l’oreiller mémoire de forme dans tout ça ?

L’oreiller à mémoire de forme est un oreiller ergonomique « amélioré », grâce notamment à une mousse spéciale utilisée comme garnissage ; souvent viscoélastique, elle réagit à la chaleur du corps et s’adapte au dormeur en fonction de la chaleur qu’il dégage. Cette adaptation permet aux muscles des épaules et du cou de se décontracter complètement. Un « must » en la matière.

En résumé

Un sommeil réparateur et confortable passe par le choix d’un bon oreiller ergonomique. Pour bien choisir votre oreiller, prenez en compte votre morphologie et vos habitudes de sommeil :

  • Si vos épaules sont étroites, il vous faudra un modèle fin (entre 8 et 10 cm d’épaisseur).
  • Si vos épaules sont larges, un modèle épais sera plus adapté (de 12 à 14 cm).

Quelle est votre position durant le sommeil ?

  • Vous dormez sur le ventre ? Un modèle fin est préconisé (5 à 6 cm d’épaisseur).
  • Sur le côté ? Préférez une référence épaisse (à partir de 10 cm) afin que votre colonne vertébrale reste droite.
  • Sur le dos ? Le modèle moyen est fait pour vous.

Le garnissage se choisit selon vos préférences (synthétique ou naturel). Vérifiez cependant de ne pas être allergique. Si c’est le cas, choisissez des matières traitées.

> Lire l’article sur le magazine en ligne de Districlub Medical

Migraine : nos conseils pour soulager les crises

Il existe aujourd’hui des traitements de fond efficaces qui permettent de soulager durablement la migraine. Mais pour bien choisir son traitement, il est important d’identifier la cause de votre migraine. On vous dit tout pour vous aider à en venir à bout.

Si les maux de tête peuvent disparaître avec un comprimé de paracétamol ou d’aspirine et touchent la plupart d’entre nous, la migraine doit être traitée par un médecin et ne concerne qu’une partie de la population.

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Une rentrée en pleine santé

Rentree en pleine sante

Quelles sont les bonnes habitudes santé à prendre pour commencer l’année du bon pied ?

Avec le retour au travail, le changement de saison et bientôt le changement d’heure, la rentrée peut rapidement faire oublier les bienfaits des vacances, à moins d’appliquer ces quelques conseils.

Rentrée en pleine santé
>> Suivez le guide

Electrothérapie : nos conseils pour bien s’équiper

Electrothérapie électrodes

Qu’est-ce que l’électrothérapie et comment en faire bon usage ? 

L’électrothérapie désigne l’utilisation de l’électricité dans un but thérapeutique. Cette technique est recommandée par les médecins pour soulager certaines douleurs chroniques ou pour se relaxer.

Electrothérapie électrostimulateur
>> Consulter mon article pour en savoir plus

Bio-impression 3D : la 3D au service de la santé

Dans le domaine de la santé, la bio-impression 3D contribue à des avancées médicales majeures. Grâce à cette technologie, les chirurgiens réalisent de nouvelles prouesses techniques telles que la reconstruction osseuse ou cardiaque. On peut désormais reproduire à l’identique une mâchoire, un crâne, et même le coeur d’un patient malade !

La 3D rend de nouveaux traitements accessibles, offrant un message d’espoir à de nombreux patients à travers le monde. Elle a récemment sauvé la vie de trois jeunes Américains atteints de trachéomalacie, une affection rare des voies respiratoires jusque-là incurable, grâce à une prothèse « biorésorbable ».

En chirgurgie orthopédique, l’impression 3D permet de recréer une copie conforme d’une partie de la colonne ou de remplacer une vertèbre malade ou brisée par une version saine. De plus en plus répandue en médecine dentaire, un scanner 3D remplace une couronne abîmée en moins de 15 minutes. Le seul bémol : le prix de cette opération, qui s’élève à 200 000 dollars environ.

Pour les femmes, une autre application mise au point par des Britanniques permet d’anticiper et de mieux soigner les problèmes liés au port de chaussures à talons en identifiant en temps réel les répercussions physiques.

Idéale pour préparer une intervention et anticiper les éléments problématiques, l’imprimante 3D est en passe de s’imposer comme un outil d’enseignement incontournable et un indispensable des salles d’opération.

> Article réalisé pour le blog d’Illimake, spécialiste de l’impression 3D

Offrez-vous une cure de jouvence

La jeunesse se préserve avec une bonne hygiène de vie (une alimentation saine, un sommeil suffisant et une activité physique régulière), mais également en adoptant une attitude optimiste. Exit les recettes miracles : la clé de la longévité, c’est d’abord un mode de vie sain et un regard positif sur la vie. Pour rester jeune dans son corps et dans sa tête, suivez le guide.

Bien se nourrir

La jeunesse est dans l’assiette : garder un corps jeune passe d’abord par une alimentation équilibrée. Acheter des produits frais et les cuisiner soi-même permet d’éviter les substances « toxiques » contenues dans les produits industriels (graisses saturées, sel, agents conservateurs…). Privilégiez les aliments riches en antioxydants qui permettent de lutter contre les radicaux libres, à l’origine de la dégradation des cellules. On les retrouve principalement dans les fruits rouges (myrtilles, fraises, framboises, mûres…), les prunes et pruneaux, certains légumes verts (brocolis, épinards, chou…) et l’ail. En règle générale, fruits, légumes, aliments riches en fibres et produits bio sont des alliés d’un corps sain. De plus, n’hésitez pas à faire le plein de vitamines et de nutriments en consommant des superaliments.

L‘astuce de Christine, 67 ans : « Je me nourris principalement de produits naturels et, depuis plusieurs années, je prends régulièrement des compléments alimentaires comme le propolis, qui renforce le métabolisme et aide à lutter contre tous les petits maux. Cette habitude a de réels bénéfices sur ma santé. »

Sport et sommeil : deux élixirs de jeunesse

Une pratique régulière du sport aide à rester jeune physiquement, mais aussi et surtout à se sentir jeune. Vous pouvez tout simplement opter pour de la marche : avec l’arrivée des beaux jours, les balades en plein air sont tout indiquées. Et pour se motiver, pourquoi ne pas s’inscrire à des cours collectifs (danse, yoga, aquabiking…) ? Veillez également à respecter votre dose quotidienne de sommeil (entre 7 et 8 heures par nuit). Durant la nuit, votre corps reconstitue ses cellules endommagées et consolide la mémoire. Certes, on dort souvent moins bien à 60 ans qu’à 20 ans, mais certaines habitudes vous feront sans doute gagner quelques heures de sommeil, comme manger léger le soir ou compenser avec une sieste après le déjeuner.

L’astuce de Thérèse, 82 ans : « Je fais une heure de gym tous les matins, sur un tapis. Ces exercices quotidiens me permettent de garder un corps plus ferme. Et comme j’aime beaucoup les danses de salon, je m’accorde une fois par mois le plaisir d’aller au bal avec mes amies. Après avoir dansé tout un après-midi, je me sens bien ! »

Le moral au beau fixe 

Qui a dit que vieillir était synonyme de morosité ? Rester jeune dans son corps et dans sa tête sont deux réalités intimement liées. Et si une large part de notre vitalité venait de notre état d’esprit ? Multiplier les activités qui vous font du bien vous aidera à garder un moral au top et une attitude dynamique. De même, prendre le temps de se détendre par des jeux, des loisirs épanouissants, par la pratique de la méditation, rire, cultiver des émotions positives et savoir prendre son temps. L’important est de s’accorder régulièrement des « activités plaisir » qui favorisent l’épanouissement et le bien-être au quotidien. Éloignez les sources de stress, dont l’exposition trop fréquente conduit à un vieillissement prématuré, et faites place à la détente !

L’astuce de Denise, 93 ans : « Tous les matins, je m’occupe de mon potager et de mes fleurs. Ce rituel me fait du bien et c’est une grande source de satisfaction de pouvoir ensuite cuisiner les produits de mon jardin. »

Faire travailler ses méninges

Après 50 ans, on attribue à tort certains oublis au vieillissement, alors qu’ils sont souvent dûs à un manque de stimulation intellectuelle. Le cerveau est un muscle comme les autres qu’il faut solliciter régulièrement. Rester actif, curieux, apprendre chaque jour de nouvelles choses, varier les activités et entretenir sa mémoire sont autant de réflexes à adopter au quotidien pour conserver toutes nos facultés intellectuelles. Essayez par exemple les mots croisés, le sudoku ou les mots fléchés, idéaux pour faire travailler ses neurones. Vos performances cognitives (mémoire et concentration) s’en trouveront nettement améliorées.

L’astuce de Claude, 64 ans : « Depuis que je suis à la retraite, je ne me suis jamais ennuyé : je répare, je bricole, je lis, je vais au cinéma avec mes petits-enfants… mes amis disent même que je suis hyper-actif ! »

Le contact social, un lien vital

Le rôle des activités sociales et relationnelles est essentiel pour garder la pêche. Vivre en famille, s’occuper de ses petits-enfants, nouer des contacts sociaux réconfortants renforcent l’estime de soi et contribuent à améliorer sa qualité et son espérance de vie. Suite à un divorce ou un décès, ces liens sont parfois à reconstruire. Pour lutter contre l’isolement, vous pouvez par exemple vous inscrire à des réseaux de loisirs où vous rencontrerez des personnes qui ont les mêmes centres d’intérêt que vous. Pourquoi ne pas donner un peu de votre temps pour une cause qui vous tient à coeur ? Aider des enfants malades à retrouver le sourire, s’engager en faveur des animaux, donner son sang, partager vos connaissances sont autant d’activités qui vous permettront de vous sentir utile et de fuir le blues.

L’astuce de Bertrand, 58 ans : « En tant qu’ancien professeur, j’ai choisi d’aider des enfants en difficulté scolaire. Donner de mon temps de manière bénévole m’aide à rester actif et à me sentir utile à la société. »

Po-si-ti-vez !

Quel meilleur moyen de ralentir le vieillissement du corps qu’en conservant une attitude positive face à la vie ? Etre optimiste renforcerait nos défenses immunitaires et nous maintiendrait plus longtemps en santé. Rester jeune à partir de 50 ans commencerait donc par un état d’esprit dynamique, rester alerte, et être bien dans sa tête. Cesser de broyer du noir ou de penser à vos petits soucis de santé et sourire à la vie vous aideront à allonger votre espérance de vie. Le rire est d’ailleurs un excellent moyen de faire face à toutes les situations. Profitez de la vie et de ses petits plaisirs quotidiens et vous vous sentirez et paraîtrez plus jeune !

Si le sommeil et le sport sont certainement deux clés importantes d’une jeunesse durable, il est tout aussi important de veiller à conserver un moral au beau fixe et à faire travailler ses méninges.

> Lire l’article sur le magazine en ligne de Districlub Medical

Ces gestes écolo qui préservent notre capital santé

Écologie et santé font bon ménage. A la maison, il est possible d’éloigner les produits toxiques en utilisant des produits d’entretien naturels. Dans l’assiette, le bio sera idéal pour faire le plein de vitamines et de minéraux. Il fera aussi le bonheur de votre peau en produits de soin et cosmétique… Avec ces quelques astuces, vous pourrez facilement adopter les bons réflexes pour protéger votre santé et celle de la planète.

Le bio, un choix santé

La tendance du bio ne cesse de gagner du terrain. Mais, au-delà de l’effet de mode, les aliments issus de l’agriculture biologique sont reconnus comme étant meilleurs pour la santé que ceux de l’agriculture conventionnelle. Leurs bénéfices ne sont désormais plus à prouver : moins de nitrates et de résidus de pesticides, plus de vitamines et de minéraux. Résultat : moins de « déchets » accumulés dans notre corps, qui seront ensuite difficiles à éliminer naturellement. Manger bio permet donc de préserver sa santé sur le long terme.

Depuis plusieurs années, la vogue du bio a également investi le domaine de la cosmétique et des produits de soin. Les cosmétiques bio, riches en actifs d’origine naturelle et dénués de substances chimiques polluantes, sont les plus respectueux de notre peau. Beaucoup de marques traditionnelles ont d’ailleurs lancé leur gamme de produits bio, alliant efficacité et naturel. On reconnaît un produit bio grâce à la présence d’un label comme Cosmebio ou Ecocert. Pour plus d’informations, on vous conseille l’excellent mini guide de l’Association Santé Environnement France.

Entretenir sa maison avec des produits naturels

Avec les travaux intérieurs de rénovation ou de décoration, une isolation, une ventilation ou un chauffage non adaptés ou mal utilisés, ou encore l’emploi régulier de produits d’entretien toxiques, l’air de nos habitations est bien souvent pollué. Dix fois plus nocif qu’à l’extérieur, il contient un cocktail de polluants allergisants, en cause dans de nombreuses pathologies. Pour limiter la pollution intérieure, il est donc important d’identifier les produits chimiques qui nuisent à notre santé, d’en limiter l’usage et de choisir des alternatives plus naturelles. Les produits d’entretien achetés dans le commerce peuvent par exemple être remplacés par des produits home made respectueux de l’environnement et de votre peau. Pour fabriquer du liquide vaisselle doux pour les mains, vous aurez besoin d’un peu d’eau, de bicarbonate de soude, de savon noir, de savon de Marseille, de miel, d’huiles essentielles (citron, pamplemousse ou thym) et d’huile d’amande douce. A vous la peau de velours !

Privilégier les transports peu polluants

Les médecins conseillent de pratiquer au minimum 30 minutes d’activité physique quotidienne. Pourquoi ne pas profiter du trajet domicile-travail pour respecter cette recommandation ? Vélo, marche, patinette, rollers : ces modes de transport « écolo » vous permettront de garder la forme tout en diminuant votre empreinte écologique. Un double bénéfice qui devrait vous motiver à laisser la voiture au garage.

Le recyclage, un enjeu de santé publique

On sait tous que le recyclage contribue à la préservation de l’environnement ; on en connaît moins l’enjeu sanitaire. Les piles, par exemple, contiennent une grande quantité de métaux lourds (mercure, zinc, plomb, cadmium), dont certains sont toxiques pour l’homme : intoxication possible en cas d’ingestion ou d’inhalation, troubles neurologiques, maladies du système nerveux, des reins, etc. Pourtant, 1 pile sur 10 seulement est recyclée. Il est donc nécessaire d’adopter ce réflexe pour limiter les dégâts sur la santé.

En résumé : 5 idées pour commencer

  • Se renseigner pour trouver près de chez soi une structure qui vous proposera un panier bio hebdomadaire (comme le Campanier par exemple, ou Mon Panier Bio).
  • Faire la chasse aux produits d’entretien toxiques, choisir des alternatives plus écologiques (comme Ome naturel ou l’Arbre Vert). Prochaine étape : les faire soi-même.
  • Choisir une crème bio pour hydrater sa peau (chez Mademoiselle Bio, ou Vitalibio), et un shampooing et gel douche naturel.
  • Prendre son vélo pour les trajets courts, puis petit à petit s’adapter à de plus longues distances.
  • Apporter ses piles usagées aux points de collecte le plus proche de chez vous !

À vous de jouer !

> Lire l’article sur le magazine de Districlub Medical

Les superaliments : pour une santé de super-héros

Superaliments

Gingembre, acerola, chou Kale ou graines de chia… Ces aliments 100% naturels sont reconnus pour leur richesse nutritionnelle exceptionnelle (ultrariches en vitamines, minéraux, antioxydants…). Ce n’est pas sans raison qu’on les appelle les superaliments : ils sont de vrais héros de notre santé dont on aurait tort de se priver.

Reconnus pour leur concentration exceptionnelle en vitamines, minéraux et autres nutriments, les superaliments regorgent d’effets bénéfiques sur la santé.

Superaliments
>> Découvrez tous leurs bienfaits et quelques astuces pour les intégrer au quotidien dans votre alimentation.

Tout savoir sur l’automédication

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Beaucoup d’entre nous ont recours à l’automédication pour soigner des petits problèmes de santé, comme un mal de gorge, de la fièvre ou une insomnie. Mais cette pratique n’est pas dénuée de risque et doit s’inscrire dans une démarche responsable. Suivez le guide.

Se soigner sans ordonnance et sans danger, c’est possible… à condition de respecter certaines règles élémentaires.

Qu’est-ce que l’automédication ?

L’automédication consiste à prendre des médicaments sans ordonnance, de sa propre initiative. Il en existe trois types :

  • l’automédication dite primaire permet de soigner des symptômes sans avis médical ;
  • l’automédication dite secondaire, ou remédication, consiste à soigner les symptômes d’une maladie qui a déjà été diagnostiquée par un médecin ;
  • l’automédication dite tertiaire est pratiquée par les personnes qui ont une maladie chronique comme le diabète ou l’asthme et qui, sous contrôle médical, sont amenés à adapter leur traitement par eux-mêmes.

La simple prise d’un cachet d’aspirine contre la migraine est un acte d’automédication. 80% des Français y ont recours plus ou moins fréquemment, avec un pic entre 40 et 70 ans (source : Afipa- Sofres).

Dans quels cas choisir cette pratique ?

L’automédication est admise par les médecins eux-mêmes, mais uniquement pour des maux peu préoccupants, des traitements de courte durée et pour un seul symptôme à la fois : douleur, fatigue, fièvre, mal de tête, bleu, mal de gorge, rhume, insomnie, toux, etc. Par exemple, pour les sujets âgés, il peut s’agir d’antalgiques pour réduire leurs douleurs liées au vieillissement articulaire, d’anti-inflammatoires, de somnifères.

Cette pratique représente une solution rapide, en substitut ou dans l’attente d’une consultation médicale. Pour traiter ces petits problèmes soi-même, on a d’ailleurs tous une « trousse à pharmacie » à la maison. Dans notre article « Trousse de secours : mode d’emploi », on fait le point sur les indispensables à avoir chez soi.

À noter : l’automédication chez la femme enceinte et allaitante, chez le nourrisson et l’enfant de moins de 2 ans est fortement déconseillée.

Quelles sont les erreurs à éviter ?

L’automédication n’est pas à prendre à la légère. Mauvais diagnostic, consommation après la date de péremption, surdosage, cumul dangereux de médicaments, mauvaise conservation des médicaments… Autant d’erreurs qui peuvent mettre en danger notre santé. Dans le cas de la migraine, le risque est d’abuser de médicaments, d’y être accoutumé et en fin de compte, d’aggraver son mal, processus qui doit être stoppé par à un sevrage.

Pour beaucoup de personnes qui souffrent d’insomnie, la prise de somnifères est courante, mais ces médicaments ne sont normalement prescrits que ponctuellement (4 semaines maximum). Ils peuvent en effet induire des troubles de la mémoire, de la concentration et même parfois de la vigilance diurne. À utiliser avec modération, donc !

Parmi les erreurs à ne pas commettre figurent : donner à la fois du paracétamol et de l’aspirine (ou de l’ibuprofène) à un enfant malade, utiliser des antiseptiques différents sur une même plaie, prendre un médicament stimulant à base de gelée royale quand on est allergique au pollen, multiplier les cures de minéraux (qui apportent souvent les mêmes molécules), etc.

Comment se soigner seul en toute sécurité ?

Pour une automédication adéquate et responsable, optez pour un médicament comportant un seul principe actif (un seul symptôme = un seul principe actif) et ne dépassez pas une durée de 4-5 jours. Veillez à lire attentivement la notice pour prendre connaissance de la posologie et des contre-indications (notamment pour éviter toute réaction allergique) et à vous y conformer strictement. Avant toute utilisation, on vérifie également la date de péremption des médicaments sur leur emballage. Pour rappel, ils doivent être conservés à l’abri de la chaleur, de la lumière, de l’humidité et hors de portée des enfants.

Faites également attention au risque de mélange. Si vous avez déjà un traitement, certains médicaments sans danger peuvent s’avérer nocifs. Dans ce cas, il est préférable de demander l’avis de votre pharmacien. De même, ne buvez pas d’alcool quand vous prenez un traitement médical (l’alcool en renforce parfois l’effet).

Enfin, il est important de demander à son médecin quels médicaments peuvent être pris en automédication et lesquels sont soumis à prescription. Ainsi, faites le tri dans votre trousse à pharmacie et ne conservez que les médicaments réutilisables de manière autonome. Par exemple on le sait, les antibiotiques ne sont pas automatiques et surtout, ils ne doivent pas être pris sans ordonnance.

Savoir renoncer à l’automédication

Être responsable, c’est aussi savoir renoncer à l’automédication lorsque la situation dépasse le cadre de nos compétences (cette pratique peut retarder un diagnostic et ainsi aggraver une pathologie). À ce titre, il est important de savoir reconnaître les signes d’alerte qui imposent de consulter plus ou moins rapidement un médecin.

Le mal persiste au bout de 5 jours ? Un symptôme ne correspond pas tout à fait à une expérience déjà vécue ? L’intensité est forte ? Vous n’êtes pas sûr(e) que ce qui vous arrive est bénin ? Le mal persiste sans explication ou récidive plusieurs fois ? Dans tous ces cas, direction le médecin ! Pensez alors à lui signaler toute prise autonome de médicament, même ceux à base de plantes.

> Retrouvez l’article dans le magazine de santé & bien-être Côte à Côte

Des remèdes de grand-mère pour un hiver au top

En ces temps de fêtes, voici quelques recettes naturelles contre les petits désagréments de l’hiver, dont nos grands-mères avaient le secret. A lire sur le site DistriClub Médical.

Guide d’achat bien-être : des idées cadeaux pour Noël

Et si vous offriez des cadeaux bien-être à vos proches pour commencer cette nouvelle année en douceur ? Voici quelques suggestions pour tous les membres de la famille.

La course aux cadeaux a déjà commencé et comme chaque année, vous ne savez pas quoi offrir à votre mère ou à votre frère pour être sûr de leur faire plaisir. Et si vous misiez sur des cadeaux bien-être, pour mettre un peu de douceur dans la nouvelle année ? On vous propose une sélection de cadeaux personnalisés pour tous les membres de la famille.

Des soins bien-être

L’hiver arrive et le froid est bel et bien installé, au grand dam des frileux ; à la maison, une source de chaleur supplémentaire serait la bienvenue. En plus de tenir chaud, une bouillotte procure une sensation de bien-être et de relaxation intense, soulage le corps de ses petits maux, comme les raideurs musculaires ou les tensions de la nuque, et réchauffe le lit avant de se coucher.

Le plaid chauffant (avec température réglable et activation programmable) est un autre allié pour faire face aux rigueurs de l’hiver. Il permet de s’envelopper dans un cocon de chaleur et favorise le sommeil.

Pour qui ? Une maman accro au cocooning.

Des soins pour la peau

Tout le monde a besoin de s’accorder une pause, de temps en temps, pour s’occuper de soi. Prendre soin de sa peau peut même devenir un rituel réconfortant, à tout moment de l’année. Les crèmes et huiles de massage de la marque Green For Health répondent à tous les besoins : soins apaisants, chauffants, drainants, veinotoniques, effet froid, etc.

Pour les peaux les plus sèches, pensez également à l’huile végétale d’amande douce, très nourrissante, pour une vraie sensation de confort.

Pour qui ? Une sœur qui aime prendre soin d’elle.

Des produits pour bébés

La toilette quotidienne d’un enfant contribue à son bien-être et à renforcer la complicité avec ses parents. D’ailleurs, les soins pour bébés sont un indispensable de la salle de bain familiale.

Pour aider le bébé à s’endormir, une peluche chauffante, garnie de noyaux de cerise et réchauffable au micro-ondes, procure une apaisante sensation de chaleur. Et pour savoir quand le petit se réveille, les parents apprécieront d’avoir un babyphone, qui leur permettra d’écouter à distance les sons émis par leur bébé.

Pour qui ? Une cousine jeune maman.

Une lampe de luminothérapie

A l’approche de l’hiver, avec la baisse progressive de la clarté extérieure, on se sent moins en forme, on dort moins bien et on est souvent fatigué. Ces troubles sont associés aux dérèglements de l’horloge biologique interne, que l’on appelle la dépression saisonnière, ou blues de l’hiver.

En s’exposant quotidiennement, l’hiver, à la lumière blanche d’une lampe de luminothérapie, on compense le manque de soleil. Reconnue pour traiter la dépression saisonnière, la luminothérapie peut également être utilisée en prévention de ces symptômes.

Pour qui ? Un frère en manque de soleil.

Des appareils de remise en forme

Pour se remettre au sport, opter pour un équipement à la maison semble moins contraignant qu’un abonnement en salle de sport. Le vélo d’appartement s’avère idéal pour reprendre une activité physique à son rythme, tout comme le tapis de gym, pour des séances tout en douceur. Il n’est jamais trop tard pour se (re)mettre au sport.

Pour qui ? Un père qui veut garder la forme.

Il ne vous restera plus qu’à emballer puis déposer tous ces cadeaux au pied du sapin !

> Consulter mon article dans le magazine Côte à côte

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